Plus d'un an après sa sortie sur PC The Elder Scrolls Online arrive sur console de salon. Un challenge de taille attend la saga mythique car elle doit assumer d'être le descendant de The Elder Scroll Skyrim qui avait été largement plébiscité que ce soit par les fans ou par la critique; mais c'est également le premier opus de la saga qui s'aventure sur l'epineux jardins du Online. The Elder Scroll Online va t'il réussir ce pari plus qu'audacieux ? Réponse dans ce test.
Rendez vous un millénaire ans avant vos aventures sur Skyrim sur Temria où vous vous retrouvez cette fois derrière les barreaux au beau milieu d'une évasion à laquelle vous aller évidement prendre part. Les contours de cette nouvelle épopée se déssinent assez rapidement et vous a pprendrez que le seigneur daedrique Molag Bal est épri du terrible fantasme d'unifier votre monde (Tamriel) avec le sien (Havreglace). Il ne manque plus qu'un joueur pour le rôle principal puisque vous n'incarnerez évidement pas n'importe quel habitant de ce monde, mais bien celui qui est sensé changer le terrible destin qui menace la Temria. Vos premières heures de jeux serviront à mettre en place la trame scénaristique et à vous familiariser avec les commandes de base du jeu ce qui ne sera pas la partie la plus aisée. Parcourant peu à peu les différentes zones de Temria vous vous laisserez prendre et commencerez enfin à vous sentir dans un RPG. Les donjons, les quêtes secondaires, les grottes et toutes sortes de lieu fidèle au genre vous font presque oublier l'aspect MMO du jeu. Vous pourrez traverser ces parties du jeu sans l'aide d'un autre joueur et vous vous sentirez comme dans un cocon oubliant même leurs existences. On en revient presque à reprendre vos anciennes habitudes de joueur solo lorsque certains choix moraux s'imposeront à vous. Heureusement le jeu vous force à trouver des frères d'armes vous accompagnant dans les différents donjons et contre les boss de ces derniers. C'est également au début du jeu que vous ferez vos débuts en tant que combattant à travers un didacticiel devenu classique. Vous apprendrez ainsi à maîtriser les attaques classiques, les attaques chargée, les interruptions, les blocages et enfin les esquives. Vous pourrez combattre avec deux armes différentes et utiliser différentes attaques spécifiques propre à votre race. La multitude d'arme disponible et le dynamisme inhérent aux combats les rendront assez plaisant mais on peut regretter qu'ils ne sortent pas de l'ordinaire. Le point noir du gameplay réside dans les "hitbox" de différents objets qui se révéleront d'une difficulté invraisemblable à saisir. De plus la comparaison avec la version PC est inévitable, et montre encore que les consoles de salons doivent progresser sur le côté interactif des RPG. On ne peut pas s'empêcher de souligner la longueur d'avance que le PC a encore face aux consoles. Le gros points noir du jeu est sans conteste les graphismes vraiment pas à la hauteur de la concurrence. Les couleurs sont ternes et nous restons une nouvelle fois sur notre faim. Une fois n'est pas coutume ce détail nous laisse sur notre faim. L'univers et l'intensité globale du jeu s'en retrouve dégradée. Portée par les qualités graphiques de certaines pépites ( (Bloodborne, The Witcher 3 : Wild Hunt ) en plus d'avoir été repousser d'un an on s'attendait à autre chose de plus clinquant et envoûtant. On pourra tout de même noter que les couleurs ressortent mieux sur Xbox One que sur Playstation 4. L'un des points forts du jeu est la personnalisation de votre personnage. Lorsque vous passerez par la case obligatoire de chaque MMO, à savoir créer son personnage, un menu assez simpliste au premier abord vous permettra finalement de déssiner les contours de votre héros à votre guise. Des cicatrices ou encore des tatouages vous permettront de faire naître un personnage unique. Vous aurez le choix entre les 9 races et devrez faire un choix entre 4 classes jouable peu importe la race que vous aurez précédement choisit : Chevalier dragon, Sorcier, Lamenoire et enfin Templier. La diversité proposé par votre avatar ne se s'arrêtera pas qu'à son apparence. les différents choix qui s'offrent à vous pour faire évoluer votre personnage renforcera encore ce sentiment Vous pourrez dépenser les points de coméptences acquis lors de votre périple dans une multitude d'axe. Chaque point de compétence peut être utilisé dans n'importe quelle branche, que ce soit pour développer les capacités intrinsèques de votre joueur ou augmenter ses talents d'artisant... Si habituellement nous n'étions pas choqué voir trouvions ça carrément logique de se voir imposer un seuil de développement maximalem de certaines capacités selon la classe de votre personnage, l'absence de limitation apporte un vent de fraîcheur chaque joueur étant totalement libre de ce qu'il décide de faire. Enfin, vous aurez le choix entre 3 alliances (Daguefilane, Aldmeri et Coeurébène) qui s'affronteront pour occuper le trône d'Empereur alors vacant dans la zone centrale Cyrodiil. Notez que chaque alliance a des prédisposition correspondant mieux à votre personnage selon les caractéristiques attribués par vos soins à ce dernier. Cependant, rien ne vous empêche d'opter pour une alliance différente et il est enfin à noter qu'une fois le niveau 50 dépassé vous pourrez visiter les territoires des autres alliances. Vous serez alors fin prêt à devenir le Héros que Temria attend.Date de sortie | 09/06/2015 |
Saga | The Elder Scrolls |
Editeur | Bethesda Softworks |
Développeur | ZeniMax |
Type(s) | RPG |
Compatibilité | Optimisé PS4 Pro |
Supports | physique |
Hey les baltringues qui n'ont rien d'autre à foutre que de visiter mon profil ! Moi c'est Shopa, Yougz, ou votre altesse comme vous voulez. Grand amateur de RPG, je suis de ceux fascinés par les jeux qui ont une réelle profondeur, à la limite du philosophique. Sinon je kiff aussi les jeux de sports, d'actions, les TPS, bref tout un programme ! J'essaye d'être drôle parfois, mais je réussis rarement. Need level up.